Ici nous vous ferons part de notre progression semaine après semaine afin que vous puissiez être au courant de tout ce qui a pu être fait, ou de ce que l'on aimerait faire.
Par analogie avec notre cylindre :
*dv/dz:Ω*R1/R1-R2
*Ω: la vitesse de rotation
*R1: rayon du cylindre intérieur
*R2: rayon du cylindre extérieur
On obtient donc : ζ=F/S=η*Ω*R1/(R1-R2)
Avec P=U*I(imposée grâce au moteur) et P=C*ω
avec C : le couple et ω : la vitesse angulaire
(à partir de la puissance nous obtenons donc le couple)
(explications a compléter avec un schéma et les formules réexpliquées sur papier qui sera scanné avant mardi)
Schema explicatif
*27 Mars
Finalement , nous sommes revenus sur les cylindres modélisés (malgré que le projet touche bientôt a sa fin ) car nous n'avons pas pu trouver le bon diamètre dans les rayons d'un magasin….Nous avons pu en imprimer un .
Cette semaine , la partie programmation doit être terminée et nous devons faire marcher la fourche optique .Nous espérons faire notre premier test dans la semaine (au plus tard Vendredi) et ainsi étalonner des fluides dont la viscosité est connue (glycérine mis a notre disposition)
28 Mars
Aujourd'hui nous avançons les recherches sur le signal PWM ( signal à modulation de largeur d'impulsion) pour pouvoir faire tourner le moteur en courant continu comme on le souhaite. Réexpliquons rapidement pourquoi utiliser le PWM : on se sert de PWM sur les moteurs pour surtout faire varier leur vitesse de rotation sans passer par la variation de tension à leur bornes: on alimente toujours le moteur sous sa tension maximal, et en faisans varier la largeur de la commande (rapport cyclique) on obtient la variation de vitesse. Plusieurs avantages à cela: variateur de vitesse très compacte, intégration dans un système numérique sans passer par de l'analogique (tension de commande), pas ou très peu de dissipation thermique dans la phase de variation, couple moteur plus élevé aux bas régime, résistance de sortie des variateurs faibles.
En fait, nous aurions pu utiliser une manière plus simple pour modifier la vitesse de rotation du moteur : le potentiomètre , mais nous aurions eu une baisse du couple, de la puissance, du rendement.
Le signal PWM consiste en fait à alimenter le moteur avec une tension en créneaux. La tension moyenne dépend alors du rapport cyclique To/T. La vitesse varie en fonction de cette tension moyenne. Pour ce faire, nous utiliserons notre microcontrôleur Arduino car il possède un port PWM.
Nous avons également fais des essais avec le capteur que nous avons acheté qui fonctionnait plus au moins comme un récepteur émetteur, mais tout le programme était donc a revoir….
31 Mars
Aujourd'hui, nous avons finalisé l'assemblage de notre viscosimètre (supports, moteurs, pieds…).
Nous aurions pu le terminer plus tôt mais nous avions rencontrés des problèmes avec les machines du Fablab.
En effet, les trous du support et leur positions étaient mal formés par la découpe laser. cela était en fait dû au laser qui repassait sur les extrémités du support (prédécoupé) mais aussi à un dysfonctionnement du laser à cause d'une surcharge d'information du fichier.
Il y a aussi eu un problème lors de l'impression 3D de nos 2 cylindres. Cette fois-ci le problème provenait d'un mauvaise vérification des paramètres avant l'impression.
Maintenant que tous ces problèmes ont été résolus, nous avons testé notre moteur fixé en suspension sur le support.
Comme on peut le constater, la tige n'est aucunement stable et nous ne pouvons pas faire d'essai avec la glycérine pour le moment.
Pour répondre à ce contre-temps, nous avons :
*remplacé notre adaptateur (moteur) par un adaptateur en métal et amovible par des vis.
*coupé notre tige au niveau des nœuds qu'elle présentait lors de l'essai.
*percé un trou (diamètre supérieur à celle de la tige) pour la tige, sur une planche que nous collerons contre le support. Cela évitera toute instabilité.
Pour éviter tout frottement avec la tige filetée et le bois, nous avons insérer une perle tube lisse en métal dans la tige (que l'on collera au niveau du trou de la planche).
Nous avons également pu imprimer nos cylindres correctement.
10 avril**
Rencontre avec le personnel enseignant de l'université Claude Bernard de Lyon.
Au fil de la discussion au sujet du capteur à notre disposition et les différentes façon de fabriquer ce que nous voulons, il apparaît que le matériel à notre disposition ne nous permettra pas d'arriver à nos fins, en cause les longueurs d'ondes mises en jeu et le type de capteur : un photo-transistor alors qu'il faudrait impérativement une photodiode…
Voici notre viscosimètre normalement terminé: