• Présentation de l'équipe
• Définitions et terminologie
• Caractéristiques du drone
• Choix des composants
• Façonnage et utilisation des machines
• Source et bibliographie

Composée de 6 étudiants en première année de cycle ingénieur Electronique et Informatique industrielle à Polytech Paris-UPMC, la team Aeromax est prête à relever tous les défis de la compétition Game of Drones organisée en 2015 par le PMCLab ! Notre équipe est diversifiée et riche de complémentarités. Etant tous apprentis et futurs ingénieurs, nous avons tous le même goût de la connaissance, de l’innovation et du travail d’équipe.

Nous souhaitons apprendre par la pratique, réaliser du concret, mais aussi exploiter le potentiel de fun que représente la conception et le pilotage d’un drone. Nous souhaitons mettre au cœur de notre projet les optimisations logicielles, sur du hardware relativement peu utilisé dans les drones. Nous répondrons présent à toutes les épreuves et ferons toujours le maximum de notre possible. Tant que la partie hardware que sur le software, il nous tient à cœur de réaliser le maximum de parties nous-même, en exploitant les atouts de chacun. Malgré notre emploi du temps chargé d’apprentis (35h de cours ou 35h d’entreprise par semaine, + les devoirs), nous faisons en sorte de réserver quelques heures par semaine aux développements.

La confection d’un drone, sans parler des contraintes juridiques fortes qui pèsent actuellement en France, n’est pas sans risques. Nous souhaitons rappeler à tout lecteur que :

• Les hélices, lorsqu’elles sont alimentées grâce aux moteurs, sont très dangereuses car coupantes. Il nous est arrivé de nous faire des coupures aux mains, mais cela peut être encore pire.

Il est important d’arrimer très fortement les hélices aux moteurs avec les outils adaptés.

• Lors des premiers tests, le drone peut démarrer et s’envoler de manière totalement imprévisible et erratique. Il faut donc trouver un système pour fixer le drone au sol, via une corde par exemple. Au maximum, il faut que les testeurs (et surtout leurs mains et les yeux) soient à une distance la plus lointaine possible des pales du drone.

• De nombreux tests sont donc à réaliser sans les hélices. L’idéal est de pouvoir fixer le drone sur un rail, pour bloquer un degré de liberté dans l’espace.

• Il faut pouvoir gérer l’urgence : un accès rapide à un bouton pour éteindre le drone (soit sur lui-même, soit sur la télécommande) doit être réalisé.

Pour l’aéromodélisme comme pour les activités particulières, l’accès à l’espace aérien est libre en dessous de 150m (en dérogation aux règles de l’air habituelles, qui contraignent les autres aéronefs civils à voler au-dessus de cette hauteur sauf autorisations particulières). Attention, en dessous de 150 m mais : - en dehors des agglomérations et des rassemblements de personnes ou d’animaux ; - en dehors des zones proches des aérodromes ; - et en dehors d’espaces aériens spécifiquement règlementés qui figurent sur les cartes aéronautiques. Si la mise en œuvre du drone s’est faite en violation des règles de sécurité, les dispositions pénales du code des transports s’appliquent : peine maximale d’un an d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende (article L.6232-4 du code des transports).