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Le protocole et le montage sont disponibles ICI
Observations : Le courant délivrée par les plaques de cuivre en absence de lumière est trop faible pour être détecté par le multimètre.
Nous utilisons les branchements du protocole Résistance pour prendre les mesures de la tension et du courant. Comme la cellule de cuivre génère peu de courant, nous éclairons directement avec la lumière du soleil, à 67 000 lux.
Courbe obtenue :
Voici la courbe de la tension en fonction de l’intensité pour la cellule à cuivre. On voit que la caractéristique j-V du cuivre n’a pas la même allure que celle de la cellule industrielle. En effet, le fonctionnement de la cellule à cuivre est différent, celle-ci ne possédant pas de jonction PN.
Observations :
La courbe U=f(I) est linéaire, la cellule se comporte donc comme un générateur. À l’aide de QtiPlot, on a approximé la courbe par une droite d’équation U=AI+B. La valeur de A donne la résistance interne du générateur en Ohm et la valeur de B donne la force électromotrice du générateur en Volt.
Dans notre cas on a :
Pour les générateurs électrochimiques, comme notre cellule à cuivre, la force électromotrice est égale à la tension à vide du générateur.