FablabSU

La séance du 30/01 s'est déroulé dans l'espace CRÉATIVITÉ du fablab (salle 46-56-101). Lors de cette séance nous avons été initié aux différentes pratiques d'une carte Arduino. En effet, nos professeurs nous ont évoqué quelques rappels d'électronique et les concepts clés de la programmation (loop…). Les cartes Arduino sont des capteurs.

Lors de la séance 3, nous avons discuté au sujet de nos expériences que nous avons ainsi pu peaufiner . Puis nous avons lancé nos cultures de Tournesol et commencé à distribuer les taches entre nous. Les points forts et faibles de chacun se sont déjà faits sentir.

Nous avons planté nos graines à 1cm de profondeur dans du . Puis arrosées.

La séance 4 nous a permis de commencer la programmation de notre carte arduino pour nos capteurs. Nous avons décidé d'utiliser le capteur de température et d'humidité ainsi que celui de luminosité. Nous avons ensuite constater l'avancé de nos cultures.

Pendant cette séance nous avons finalisé nos capteurs que nous avons installés sur la plateau de nos plants témoins.

Voici un pot de Tournesol après 2 semaines de plantation dont une semaine exposé à une forte intensité lumineuse.

Nous avons effectué les premières mesures qui sont celles des tiges. Voici nos données: De plus, nous avons planté de nouveau plants pour notre seconde expérience. Nous nous sommes renseigné sur les lampes UV.

Durant cette séance, nous avons récupéré nos plateaux, et avons tout d’abord observé que les tournesols ayant subies le stress lumineux avaient nettement plus poussées que les tournesols témoins. Nous les avons ensuite mesurés et comparés avec les mesures de la semaine dernière, et avons également constaté que la moyenne de la taille des plantes stressées avait augmenté, due également au fait que certaines plantes qui avaient à peine germé ont poussé de façon exceptionnelle atteignant la taille des autres fleurs.

Nous avons ensuite relevé les mesures sur les cartes Arduino et avons ensuite relancé de nouvelles mesures. Les taches étaient réparties selon les compétences de chacun, certains plus à l’aise avec l’informatique et l’électronique.

Nous avons discuté sur d’éventuels autres possibilités de traitement de nos plantes. En effet, le stress choisi n’est réellement un véritable stresse c’est même assez bénéfique sur nos plantes du point de vue de la superficie des feuilles de tournesol et elles ont aussi un assez bel aspect et les trous sur les feuilles constatés la semaine dernière ont presque complètement disparus.

Ainsi, nous pensions à augmenter l’intensité lumineuse et éventuellement rajouter une lampe supplémentaire, pour voir l’effet réel de ce stress, mais aussi peut être à diminuer l’intensité. Nous réfléchissons à l’une ou l’autre de ces possibilités.

Nous avons également récupéré les tournesols sur lesquels nous avions prévu d’appliquer un stress lumineux aux UV. Nous ne leur appliquerons leur stresse qu’une fois qu’elles auront suffisamment poussé.

Lors de cette séance nous avons exécuter la manipulation UV. Celle ci reste à améliorer. Nous comptons laisser nos plantes environ 1h la prochaine fois . Nous les avons exposé aux UV pendant 30 min. Nous avons présenté notre oral.

Durant cette séance, nous avons observé une nouvelle fois que le stress lumineux appliqué aux tournesols leur était bénéfique puisqu’ils avaient davantage de feuilles que les témoins, leur couleur était bien verte, leur tige était bien droite et ils poussaient normalement. Néanmoins, au touché, les fleurs étaient moins lisses et plus rugueuses.

Nous avons décidé pour la séance prochaine d’augmenter l’intensité lumineuse et d’ajouter une lampe supplémentaire. Nous avons constaté grâce aux relevés des capteurs Arduino qu’en réalité, les lampes étaient éteintes le soir et que par conséquent, nos plantes n’étaient pas exposées 24h à l’intensité lumineuse comme nous le souhaitions. Cela expliquerait, sans doute, que nos fleurs poussent si bien. Ils nous tardent de voir leur aspect à la prochaine séance.

Nous avons également récupéré nos tournesols récemment plantés qui devaient subir comme stress une exposition aux UV que nous avons débuté cette semaine.

Nous avons également comme à chaque séance, relevés les valeurs d’humidité, de température et de luminosité des capteurs Arduino et avons lancé les nouvelles mesures.

Durant cette séance, nous avons, une nouvelle fois, constaté que nos plantes stressées avaient bien poussées ; nous les avons mesurées et nous avons observés que leurs tiges devenaient de plus en plus épaisses plus que celles des plantes témoins. Nous nous posons des questions concernant cette différence et si c’est l’intense luminosité qui provoquait cet effet. Leurs feuilles étaient également plus vertes (vert plus foncé) que les plantes témoins. Nous avons élaboré un protocole pour mesurer leur taux de chlorophylle et ceux des plantes témoins, afin d’avoir des données concrètes de comparaison du taux de chlorophylle de chaque plante.

Néanmoins, les feuilles semblent plus sèches et contrairement aux plantes témoins, elles ne reviennent pas à leur forme initiale lorsqu’on les plie légèrement en 2 . L’effet « négatif » de la forte luminosité semble enfin se manifester.

Le stress à la lumière UV semble quant à lui très bien fonctionner. Nous avons pu récupérer des plantes exposées 40 min aux UV. Les feuilles étaient plus rétractées, plus sèches et avec de petits trous.

Nous les avons exposés durant cette séance à 1h d’UV et les effets précédemment observés se sont accentué avec des feuilles encore plus sèches et rétractés notamment.

Ce fut une séance très chargée. Nous avons dans un premier temps mesuré les tiges de nos plantes ayant subies les rayonnements UV et celles à fortes intensité et les témoins. Les observations sont les mêmes que les semaines précédentes, à savoir que les plantes témoins sont légèrement plus grandes mais les plantes exposées à un fort rayonnement se tiennent mieux avec plus de feuilles et des tiges plus épaisses. Quant aux plantes exposées aux UV, elles poussent assez bien mais leurs feuilles sont vraiment très asséchées voire légèrement brûlées.

Nous avons ensuite sélectionné quelques feuilles de plantes témoins et non témoins afin de les mettre dans une machine et de mesurer leur activité photosynthétique. Nous avons ensuite pris soin de prendre en photos les mesures affichées sur l’écran. Nous avons ensuite pesé toutes les feuilles (témoins et non témoins) que nous avons préalablement arraché.

À la suite de cela, nous avons déraciné toutes les plantes et avons essayé de mesurer les racines, ce qui fut assez compliqué et avons ensuite pesé toutes les tiges.