Ceci est une ancienne révision du document !
Plus de détail sur le site du LATMOS
Là, non, merci d'inclure les détails dans cette documentation
Plaque bien imprimée hormis pour le connecteur du petit ventilateur. L'épaisseur des lignes étant trop faible la plaque n'a pu être imprimée. Des petit fils devront donc être ajoutés.
inclure schéma, board layout et liens vers fichiers.
L'objectif de ce test était d'obtenir le niveau de tension délimitant la détection d'une PM10 d'une PM2.5. En soumettant les capteur Shinyei à différentes contraintes (poudre de craie, fumée, aérosol) et en comptant le nombre de particules obtenues pour une tension donnée, il est possible de déterminer ce niveau. Toutefois il faut prendre gare à plusieurs chose. Tout d'abord l'appareil de référence (OSIRIS) doit faire des mesure en nombre de particule et non en µg/m3. En effet une particule de PM10 étant plus lourde il est difficile de déterminer si les contraintes de tests contiennent plus de petite que de grosses particules. Secondement, il est essentiel de mesurer la tension obtenu à chaque passage de particule et non la moyenne. Lors de ce test le code de l'arduino servant à récupérer les mesures réalisé des moyenne toutes les secondes. Pour les prochains test il faudra donc retravailler le code et programmer l'osiris afin d'avoir un comptage de particules.
Les résultats obtenus sur ce test ne permettent donc pas d'obtenir des informations suffisamment fiable pour établir une valeure limite PM2.5/PM10. Cependant d'autre conclusion peuvent être tirée
Sur l'image ci dessus on observe les résultats du obtenue par l'OSIRIS les 2 premiers piques correspondent à un lâché de fumées, le 3ème une pollution à la poudre de craies et le dernier à une pulvérisation d’aérosol. Le premier constat qu'il est possible d'établir est que la boite n'est pas étanche puisque la plupart des particules ne restent pas confinée. De même on peut remarquer que nos contrainte ne sont pa véritablement caractéristiques de PM2.5 ou de PM10 puisque chaque pic à engendrer l'apparition des 2 types de polluants.
Les résultats obtenu par les Shinyei sont obtenu ci dessus. La présence de nombreux pics au même instants que pour l'OSIRIS indique une bonne réponses des appareils. L'écart entre chacun des capteurs confirme bien le constat déjà établi dans les expériences effectuées plus tôt: il existe une différence notable dans les tension relevées selon le capteur, une calibration est donc indispensable.
Afin de mesurer les sortie PM10 et PM2.5 du shinyei le code à été retravaillé (ajout de la prise de mesure de sortie P2). reste à ajouter une entrée de tension pour le threshold.