Groupe B2
Nom des participants :
- Axelle Mano
- Vangu Nlandu Vangu
- Clémence Pereira
- Ibtyssam Seddiki
Groupe : CMI Physique B
Journal de bord :
Séance 1 - 29/01/2024
Pour cette première séance de l’UE LU1SXPFL, nous avons commencé par une présentation de l’origine et du fonctionnement du Fablab mais aussi de l’objectif final de ce cours. Nous devrons donc documenter notre avancée sur le projet final à rendre et présenter en fin de semestre. Les valeurs fondamentales du Fablab sont le partage, l’ouverture et l’interdisciplinarité. Nous avons visionné un cours de la fabacademy enseigné par Neil Gershenfeld créateur du créateur du Fablab et du cours How to make (almost) anything. Nous avons également rencontré l’équipe des Fabmanagers.
Ensuite, nous avons visité le FabLab en commençant par la salle des imprimantes 3D. Nous avons pu y observer différents objets qui ont été imprimés avec ces imprimantes et tout le matériel utilisé.
Salle d'impression 3D
Imprimante 3D
Après la salle d’impression 3D, nous avons visité la salle de découpe, dans laquelle nous avons pu découvrir des machines qui utilisaient différentes méthodes de découpe précises : laser, jet d’eau, fil chaud, etc.
Découpeuse à jet d'eau
Puis nous nous sommes rendus dans la salle d’électronique, où se trouvent les appareils à soudure et le matériel de protection (gants, masques, casques).
Nous avons visité la salle de préproduction dans laquelle nous avons découvert la fraiseuse. Puis nous avons eu accès à la salle de menuiserie dans laquelle nous avons découvert la fraiseuse à bois.
Troisièmement et dernièrement, nous avons formé nos groupes, Vincent Dupuis nous a présenté comment documenter notre Wiki et donc nous avons commencé notre documentation sur la première séance du projet FabLab.
Séance 2 - 05/02/2024
Lors de cette seconde séance nous avons été initié au design 2D, 3D, à l'impression 3D et à la découpe laser.
Premièrement, nous avons découvert Inkscape, un logiciel qui permet de dessiner les modèles 2D que nous voulons obtenir à la découpeuse laser. Nous avons découvert les fonctionnalités du logiciel, par exemple les différentes couleurs à utiliser en fonction de si on veut graver ou découper le matériau, et puis nous les avons explorées et testées en dessinant un modèle précis indiqué par monsieur Dupuis composé d'un rectangle et de 4 cercles situés à une distance précise des cotés du rectangle. Il a donc fallut calculer et régler les positions de chaque objet afin d'obtenir ce dessin :
Ensuite, nous avons découvert OpenSCAD, un logiciel de modélisation pour les imprimantes 3D. Nous avons aussi pris en main le logiciel en explorant un maximum de ses fonctionnalités, notamment le codage. En effet, il faut utiliser un langage de code spécifique pour exprimé ce que nous souhaitons modéliser. Comme pour Inskape, notre professeur nous à donné un modèle à reproduire afin que l'on se familiarise avec le logiciel. Nous avons pu modélisé un cube avec des des trous sur chacune de ses faces. Aussi, nous avons découvert la "CheatSheet" d'OpenScad, page web sur laquelle est regroupé toutes les lignes de code et le langage à écrire pour modéliser.
Puis, nous avons découvert FreeCAD, un logiciel qui permet d'utiliser la modélisation volumique, la modélisation fonctionnelle, et la modélisation surfacique, trois types de modélisation entièrement paramétrables. Nous avons également pris en main le logiciel et explorer en modélisant un cube, puis en dessinant des cercles sur ses faces et en les extrudant, on obtenait des cylindres à l'intérieur du cube. Il suffisait de soustraire les cylindres au cube pour avoir un cube troué similaire à celui réalisé sur OpenScad. Cependant, nous avons pu voir que ce logiciel n'étais pas le meilleur pour la modélisation 3D car pas très intuitif à l'utilisation.
Enfin, en fin de séance, une Fabmanager nous a monter en détails comment faire une impression 3D en nous montrant comment utiliser les imprimantes, et aussi comment faire de la gravure et de la découpe laser. Nous avons ainsi été informés de toutes les étapes à réaliser avant de laisser une imprimante 3D ou une découpeuse laser, comme régler les paramètres de structure interne ou la présence de support pour une impression 3D et le réglage de la focale pour la découpeuse laser qui est automatique sur certaines machines. Nous nous avons également été avertis des précautions à prendre afin d'avoir une utilisation responsable des machines mises à notre de disposition mais aussi pour notre sécurité.
Séance 3 - 12/02/2024
Cette troisième séance a été une initiation au prototypage électronique avec l’aide d’arduino.
L'Arduino UNO est une plateforme électronique de prototypage rapide qui offre la possibilité de connecter facilement des capteurs en tant qu'entrées et des actionneurs en tant que sorties. Elle intègre divers composants électroniques, dont son élément central, un microcontrôleur capable de stocker et d'exécuter des programmes informatiques.
L’arduino permet des tests rapides de prototypes d’appareils électroniques.
La première étape est de créer un programme dans un environnement de développement (Integrated Development Environment), c'est-à-dire une application sur laquelle on code. L’ide Arduino permet de créer du code puis de compiler ce code en un fichier compréhensible par le microcontrôleur (langage binaire) en le téléversant. Le language utilisé est le C. Il existe trois parties essentielles à un programme :
- commence par include → permet d’inclure du code dans le code/réutiliser du code déjà existant, les fonctions associées au capteur sont empaquetées dans une bibliothèque et pour parler avec le capteur il faut inclure du code externe
- fonction setup → permet d'initialiser le code et il sera exécuté 1 seule fois
- fonction loop → exécute une action en boucle
Blink.ino sur arduino est équivalent au Hello world utilisé dans les autres langages informatiques tels que Python pour démontrer leur fonctionnement de manière simple et rapide.
Après cette introduction théorique sur le fonctionnement d'Arduino, nous nous sommes mis en binômes afin de faire une première prise en mains d'un capteur. Le premier exercice consistait à brancher une LED rouge et une résistance en série et de télécharger un programme disponible dans la base de donnée de l'ide Arduino pour faire clignoter la LED (allumée 1 seconde, éteinte 1 seconde). En connectant la Breadboard, l'Arduino Uno et l'ordinateur nous avons téléversé le programme afin qu'il soit exécuté :
Le programme utilisé était un des exemples dans les programmes basiquesde l'IDE et s'appelait "Blink" :
void loop() {
Séance 4 - 26/02/2024
Lors de cette quatrième séance, nous avons commencer notre projet de groupe.
L'objectif est concevoir un système usant d’au moins un détecteur/ capteur, d'effectuer une expérience physique avec et de réaliser une série de mesures.
Nous avons décider de concevoir un détecteur d’intensité sonore. Le principe est de mesurer l’intensité et le volume sonore selon l’endroit et les matériaux présents dans ces endroits, mesurer l’atténuation de chaque matériau (verre, bois, plexiglas) et vérifier la loi physique sur le niveau d'intensité sonore : L = 10log(I/Io).
Pour nos premiers tests, nous avons eu besoin d'un capteur de son et d'une carte Arduino Uno.
Tout d'abord, nous avons tester le détecteur de son, soit le Grove - Sound Sensor:
Ainsi, nous avons dû calibrer le détecteur pour pouvoir tester ses fonctionnalités.
Nous avons utilisé un code qui permettait de prendre des mesures du niveau sonore, nous avons pris ce code sur :
https://sensorkit.arduino.cc/sensorkit/module/lessons/lesson/06-the-sound-sensor
Observation d’un graphe de valeurs (unités des axes encore pas très claires pour nous : peut-être des Volts)
Cela nous confirme que notre capteur focntionne !
La prochaine étape est de réfléchir à comment modifier le code pour avoir des résultats en dB.
Objectifs pour les prochaines séances :
Il faut prendre un certains nombre de mesures (échantillonnage) à intervalle régulier (idée du forum : arduino decibel meter)
OU
Faire un échantillonnage nous-même : on prend une mesure en envoyant une certaine valeur en dB ensuite on observe le signal en Volts que l’on reçoit, on trace une courbe sur Regressi pour avoir la fonction correspondante et donc pouvoir par la suite passer de Volt à dB. C'est une bonne piste pour la prise de mesure.
Puis pour tester l’atténuation on prendra différents matériaux et on voit si l’atténuation est linéaire/continue/autre et fonction des dB de la source. Il est nécessaire de connaître les caractéristiques des matériaux que l’on utilise.
Pour la source sonore, on prendra un bruit blanc (par exemple) qu’on trouve sur Youtube dont on connaît le niveau sonore, on mesurera son volume sonore avec Phyphox (sur un autre téléphone) et on le laissera le son en continu lors de notre expérience afin d’avoir un résultat cohérent. Pour utiliser Phyphox on procèdera à un étalonnage grâce à un sonomètre et une source afin de connaître la valeur précise du son pour avoir une valeur de référence.
On relèvera ensuite les sons selon les matériaux en comparant avec le son initial et on calculera l’atténuation sonore.
On répète la même expérience pour tous les matériaux.
Pour vérifier nos résultats, on regardera sur internet les atténuations des différents matériaux afin d’avoir un ordre de grandeur pour nos mesures. Aussi, il faut qu’on choisisse des matériaux avec des valeurs d’atténuation assez différentes.
Enfin, il faut comparer nos mesures aux mesures connues et discuter de la fiabilité et de la précision de notre dispositif.
Idées de matériaux :
Verre
BOIS
PVC
LIEGE
Séance 5 - 04/03/2024
Objectifs du jour :
- étalonner nos téléphones (Phyphox)
- prendre une première série de mesure
- faire une courbe sur Regressi : corrélation Volts et dB
Première étape : Étalonnage
Nous avons étalonné Phyphox sur nos téléphones à l’aide d’un “bruit rose”. Nous avons ainsi mesuré 70 dB.
Expérience : Nous nous sommes installés dans la salle de réunion du FabLab car assez insonorisée et silencieuse. La source de son (téléphone de Clémence) était placée à 1m de nos téléphones, pour préserver l’étalonnage, nous avons enregistré le décalage (113 dB pour le téléphone utilisé lors des prises de mesures par la suite).
Deuxième étape : Prise de mesure
Une fois Phyphox étalonné, nous avons pris une série de valeurs à l’aide du capteur “Grove - Sound Sensor”, cependant, les valeurs obtenues n’étaient malheureusement pas du tout cohérentes. En effet, en parallèle de la prise de mesure, nous avons ouvert Regressi afin de pouvoir tracer la courbe et donc pouvoir faire une corrélation entre Volts et dB. On s'attendait à ce que la corrélation soit à peu près linéaire, ou du moins cohérente, cependant ça n’a pas fonctionné.
Résultats :
Troisième étape : changement de capteur
Nous avons ensuite changé de capteur en prenant le loudness sensor. Par manque de temps nous n’avons fait que très peu de mesures.
Programme utilisé pour le capteur “Grove - Loudness Sensor” :
int val;
void setup()
{
Serial.begin(9600);
}
void loop()
{
analogRead(0);
delay(10);
val = analogRead(0);
Serial.println(val);
delay(200);
}
Source : https://seeeddoc.github.io/Grove-Loudness_Sensor/
Mais les premières valeurs obtenues restaient quand même plus cohérentes, nous obtenons une droite linéaire.
Objectifs pour la prochaine séance :
Pour la prochaine séance nous comptons donc faire le plus de mesures possibles avec ce capteur. L’objectif est aussi de faire varier la résistance qui est lié à la sensibilité du capteur. Ainsi on prendra les valeurs les plus cohérentes.
Il nous reste un dernier capteur à tester le grove Analog Microphone qui se rapproche plus du microphone présent sur nos téléphones. En testant ce dernier capteur nous pourrons ainsi choisir avec lequel parmi les 3 nous obtenons les valeurs les plus cohérentes, pour avoir la meilleure fonction reliant Volts et dB.
Nous essaierons également de prendre des mesures avec différents matériaux situés entre la source et le capteur afin de pouvoir calculer un rapport qui représenterait l'atténuation du matériau et voir si on obtient des valeurs cohérentes.
Grove- Analog Microphone :
Nous essaierons également de prendre des mesures avec différents matériaux situés entre la source et le capteur afin de pouvoir calculer un rapport qui représenterait l'atténuation du matériau et voir si on obtient des valeurs cohérentes.
Séance 6 - 11/03/2024
Après plusieurs essais nous nous sommes rendue compte que phyphox posait un problème et avons donc utilisé une autre application de mesure sonore: sound meter.
Nous avons testé analog microphone:
Avec le code suivant :
/*
Analog input, analog output, serial output
Reads an analog input pin, maps the result to a range from 0 to 255 and uses
the result to set the pulse width modulation (PWM) of an output pin.
Also prints the results to the Serial Monitor.
*/
// These constants won't change. They're used to give names to the pins used:
const int analogInPin = A0; // Analog input pin that the potentiometer is attached to
const int analogOutPin = 9; // Analog output pin that the LED is attached to
int sensorValue = 0; // value read from the pot
int outputValue = 0; // value output to the PWM (analog out)
void setup() {
Serial.begin(9600); // initialize serial communications at 9600 bps
}
void loop() {
sensorValue = analogRead(analogInPin); // read the analog in value
outputValue = map(sensorValue, 0, 1023, 0, 255); // map it to the range of the analog out
analogWrite(analogOutPin, outputValue); // change the analog out value
Serial.println(outputValue); // print the results to the Serial Monitor
// wait 2 milliseconds before the next loop for the analog-to-digital
// converter to settle after the last reading:
delay(2);
}
Trouvé sur ce site: https://wiki.seeedstudio.com/Grove-Analog-Microphone/
décibels |
bits (0 à 1023) |
68 |
327 - 300 |
64 |
312 - 315 |
60 |
300 - 301 |
55 | 294 - 295 |
Projets personnels
Axelle
Vangu
Clémence
Ibtyssam
I- Impression 3D
II- Gravure
Pour le second projet personnel, il nous est demandé de graver l'image ou l'écrit que l'on souhaite tant cela tient dans une surface de 40 cm2.
Pour ma gravure, j'avais pour projet de graver le système solaire en entier. Cependant, en faisant mes recherches, je n'ai pas trouvé d'image correspondant à ce que je cherchais. Alors ma nouvelle idée a était de graver seulement une planète du système solaire, pas une en particulier car elle sont toutes plutôt jolie mais au moins une. En faisant mes recherches j'ai vu qu'il y avait plein de modèles et dessins plus ou moins sophistiqués de plusieurs planètes telles que Uranus, Saturne ou Neptune.
Cependant, lors de mes recherches, je suis tombé sur des dessins pour gravures en noir et blanc contenant toutes les planètes, pas dans l'ordre, mais toutes réunis sur une même plaque. J'avais donc enfin trouvé ce que je recherchais, le fait qu'elle ne soit pas dans l'ordre ne me dérange pas forcément car je trouve ça très original le fait qu'elle soit juste disposé aléatoirement sur une plaque. De plus, il y a aussi des atséroïdes et des météorites parmi les planètes ce qui donne du mouvement à la gravure et la rend encore plus vivante.
J'ai beaucoup aimé et je me suis dis que c'est cela que j'allais graver !
Cependant je voudrais tout de même ajouter quelques modifications à l'image et la mettre à mon goût au niveau du style et des différents tons de gris et noir. Il faut également que je la redimentionne pour que ça rentre dans les dimensions qui nous ont été imposées.
Pour cela, j'ai utilisé le logiciel Inkscape, qui est un logiciel de dessin vectoriel libre multiplateforme. C'est un logiciel qui nous a été présenté et auquel nous avons été initié lors de la 3e séance de Fablab. Avec ce logiciel, nous pouvons apporter toutes les modifications que nous voulons à nos projets, il possède une multitude de fonction.